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Breaking News: réaction de Jackie et Kravitz
10/11/2010 08:35
Jackie Jackson a laissé un commentaire sur Twitter
au sujet de la situation autour
du nouvel album de Michael.
"Suite aux nombreuses questions sur le sujet,
je dois vous dire que mon ami
John McClain et moi avons,
depuis plusieurs semaines,
demandé la suppression de plusieurs
chansons de l'album de Michael.
Mais nos craintes et nos demandes
n'ont pas été prises en compte".
De son côté, Lenny Kravitza également
réagi sur son Twitter en mentionnant que la chanson
"Another Day"
(au pssage, il semble qu'il l'ait renommée
"I Can't Make It Another Day")
contient à 100% la voix de Michael
et qu'elle est pure et inspirée...
Par ailleurs, YouTube vient de voir apparaître
un nouveau titre prétendument extrait
de l'album de MJ.
Il s'agit de Monster.
Là encore, les doutes planent...
Source : MJB
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Interview de Katherine Jackson chez Oprah Winfrey
09/11/2010 19:09
Hier soir, Katherine était l'invitée d'Oprah Winfrey
pour une interview diffusée
à la télévision américaine.
Elle a été enregistrée dans la maison
familiale des Jackson à
Encino le 09 octobre dernier.
Retrouvez ci-dessous la traduction
de plusieurs extraits de cet entretien.
Oprah Winfrey ( OW) :
Nous voici donc dans la célèbre
demeure de Hayvenhurst…
Katherine Jackson ( KJ ) :
Si vous la voyez comme ça, oui.
Nous habitons dans cette maison depuis quarante ans.
OW :
Nous voici dans la maison où vous
avez amené votre famille il y a
maintenant quarante ans,
pour commencer une nouvelle vie en Californie.
Comment avez-vous vécu ce changement ?
J’imagine que venant de cette
petite maison de Gary,
ici vous avez dû vous sentir comme
dans un vrai manoir !
KJ :
C’est vrai, oui.
OW :
Quels sont vos plus beaux souvenirs
de l’enfance de Michael dans cette maison ?
KJ :
Lui et son frère Randy
ont grandi ensemble.
Ils aillaient répéter dans le studio
que nous avions ici.
Ils ont écrit « Dancing Machine » ici.
OW :
Vraiment ?
KJ :
Oui.
OW :
À l’époque où vous êtes arrivés ici,
votre famille était déjà très connue
. KJ :
Oui.
OW :
De quoi rêviez-vous pour
vos enfants et votre famille ?
KJ :
Je voulais tout simplement qu’ils deviennent
de bons citoyens et de bons pères,
ce qu’ils sont tous aujourd’hui.
OW :
Vous avez écrit ce livre à sa mémoire,
pour lui rendre hommage…
Il s’intitule « Never can say goodbye »
(Je ne pourrai jamais te dire au revoir).
Pourquoi avez-vous eu envie de faire cela ?
KJ :
Je l’ai fait pour ses fans et pour tous
ceux qui ne le comprenaient pas.
[Le livre] consiste d’anecdotes sur lui et…
OW :
Vous pensez qu’il était incompris ?
KJ :
Absolument.
OW :
[Oprah feuillette le livre et montre un portrait
de Michael enfant]
Quel est votre souvenir de lui ?
De votre fils, Michael Jackson.
C’est ce portrait que vous voyez ?
KJ :
Je pense à mon fils toute la journée.
Je n’aime pas parler de lui car je sens
les larmes monter à chaque fois mais je...
C’est drôle…
Je me souviens de lui
bébé, dans mes bras,
le jour où ma mère et moi
lui avons donné son prénom
enfin c’est ma mère qui lui a donné
jusqu’à l’âge adulte.
C’est le souvenir qui me vient tous les jours.
OW :
N’ayant jamais eu d’enfants,
j’aimerais savoir si une mère garde
une image bien précise de son enfant ?
KJ :
Oui, absolument.
OW :
Et c’est ce petit garçon que
vous voyez en pensant à lui ?
KJ :
Oui.
Et parfois j’entends son rire dans ma tête.
Il était toujours très taquin et rieur.
Il s’amusait beaucoup avec ses frères
pendant leurs répétitions ou
lorsqu’ils se préparaient avant un voyage…
Il faisait sans arrêt des blagues…
OW :
J’ai récemment interviewé Lisa Marie Presley,
qui pour la première fois m’a donné l’impression
qu’elle l’avait vraiment beaucoup aimé.
KJ :
C’est vrai qu’elle l’a aimé.
OW :
Qu’avez-vous pensé quand il vous a
annoncé qu’il s’était marié avec elle ?
KJ :
C’était une vraie surprise.
Il m’a appelée après le mariage,
et il m’a dit qu’il voulait me la passer,
ce qu’il a fait, et je ne croyais pas que c’était elle.
Il m’a juré que si !
J’ignorais qu’elle avait une voix aussi grave.
[En chuchotant]
On aurait dit une fille Noire…
OW :
Vous pouvez dire ça tout haut vous savez… [rires]
L’aviez-vous déjà rencontrée ?
KJ :
Non.
Je l’avais vue petite mais…
OW :
Donc il l’a épousée sans jamais vous
l’avoir amenée à la maison.
KJ :
Tout à fait.
OW :
Elle m’a confié que l’amour qu’il avait
pour vous était inconditionnel.
Qu’il aurait tout fait pour vous.
Vous le ressentiez aussi ?
KJ :
Oui.
Tous ceux qui le connaissaient
m'ont dit la même chose.
Mais oui, j’en étais consciente.
Et moi aussi je l’aimais infiniment.
OW :
Ce garçon adorait sa maman…
KJ :
[Rires]
Oui, je dois bien le dire.
OW :
Vous ne vous attendiez pas à ce
qui est arrivé le 25 juin ?
KJ :
Non…
Cela a été le pire jour de toute ma vie.
OW :
Où étiez-vous ?
KJ :
Je faisais mon service de terrain.
OW :
C'est-à-dire ?
KJ
Je suis Témoin de Jéhovah
OW :
Je sais, mais vous voulez dire que
vous faisiez du porte à porte ?
KJ :
Oui, mais ça c’était plus tôt ce jour-là.
OW :
Vous en faites encore ?
KJ :
Oui…
OW :
Seigneur…
KJ :
En rentrant on m’a appelée pour me
dire de me rendre à l’hôpital.
Mais entre temps Joseph m’avait appelée
aussi pour dire qu’une personne
venait d’être évacuée de chez Michael en ambulance,
et que tout le corps de la personne était recouvert…
J’ai prié sur tout le chemin de l’hôpital.
Comme vous pouvez l’imaginer,
j’étais terrifiée.
Et donc on m’a dit que je devais aller à
l’hôpital parce que Michael y était.
Il était déjà mort mais il ne m’ont rien dit.
En arrivant là-bas, mon neveu n’arrêtait pas de me dire
« Prie, tante Kate, prie ! Tout va bien ! »
OW :
Au fond de vous, vous saviez…
KJ :
C’est le pressentiment que j’ai eu.
Mais j’espérais que non.
Au téléphone ils m’ont dit qu’il était malade,
pas qu’il était mort.
OW :
En arrivant à l’hôpital,
qui vous a annoncé la nouvelle ?
KJ :
Ils ont dit au docteur de me l’annoncer.
Et on est restés longtemps à attendre
qu’il viennent nous donner des nouvelles !
J’imagine que lui non plus
ne voulait pas avoir à faire cela.
Mais le Dr. Murray a bien été obligé de nous le dire…
OW :
C’est lui qui vous l’a dit ?
KJ :
Oui.
Après une longue attente il est enfin entré.
Je lui ai demandé
« Alors, que s’est-il passé ?
Comment va-t-il ?
Est-ce qu’il est tiré d’affaire ? »
et il a répondu
« Non, il nous a quittés. »
C’est tout ce dont je me souviens.
OW :
Avec qui étiez-vous à ce moment-là ?
KJ :
Mon neveu.
Les enfants de Michael étaient là
ce que j’ignorais car ils étaient dans une autre pièce.
Ils m’ont amené les enfants,
et c’est là que ça a été le pire…
OW :
Prince, Paris et…
KJ :
Prince, Paris et le petit…
Ils pleuraient tellement.
J’ai cru que Paris allait s’évanouir à force.
Elle répétait
« Papa, je peux pas vivre sans toi,
je veux partir avec toi… »
J’avais si mal pour eux.
OW :
Qui leur a appris la nouvelle ?
KJ :
Ils pleuraient quand je les ai vus,
alors quelqu’un leur avait déjà dit.
OW :
Pendant le procès de 2005,
vous étiez présente au tribunal jour après jour.
Comment avez-vous vécu cela ?
KJ :
Ce n’avait rien de difficile pour moi,
car c’était mon bébé qui subissait ce procès,
et car je savais qu’il était innocent.
Le plus stressant était de se demander
si le jury le comprendrait,
ou s’ils l’enverraient en prison.
C’était tellement éprouvant.
Je priais pour que la vérité soit triomphante.
Je me disais que s’ils savaient la vérité,
Michael pourrait quitter le tribunal.
Et c’est ce qu’il s’est passé.
Mais…
Je n’arrive pas à en parler…
Vous voyez comme je suis incapable de
parler de lui sans me mettre à pleurer…
Mais le procès a été très éprouvant pour lui,
sa vie était en jeu.
Il a subi ce type d’accusations toute sa vie,
et ce n’était que des mensonges.
OW :
Vous n’avez jamais cru, ne serait-ce qu’une seconde,
qu ’il pouvait être coupable ?
KJ :
Non, jamais.
Je savais qu’il ne ferait jamais ça parce
qu’il aimait les enfants.
C’est uniquement parce qu’il était toujours
entouré d’enfants que ces gens ont réussi à l’accuser.
Je ne les nommerai pas,
ils savent très bien qui ils sont.
Ils se sont servis du temps qu’il consacrait
à ces enfants pour faire croire aux gens
qu’il s’était mal conduit.
Michael me demandait toujours
« Maman, pourquoi m’accusent-ils d’un truc pareil ?
Je les aime plus que tout,
je préfèrerais me tailler les veines
plutôt que de faire du mal à un enfant ! »
Il disait ça tout le temps.
OW :
Comment était-il pendant le procès ?
Il avait parfois l’air d’être sous
l’influence de médicaments.
Vous vous souvenez sans doute du jour
où il est arrivé en pyjama ?
KJ :
Nous devions toujours nous lever à l’aube,
et Michael avait fait une chute ce matin-là,
alors il a dû aller à l’hôpital.
Du coup,
nous allions être en retard au tribunal.
Mais le juge a déclaré que si nous n’arrivions
pas avant une certaine heure,
ils garderaient la totalité de sa caution
3 millions de dollars il me semble
et qu’ils ne lui rendraient pas l’argent
[Note:
Le juge menaçait en réalité d'arrêter
Michael s'il ne se présentait pas
au tribunal dans les temps].
Son avocat a appelé pour lui dire d’y aller immédiatement.
Il s’est donc rendu au tribunal en pyjama
la même tenue qu’en arrivant à l’hôpital.
OW :
Est-ce que ce procès l’a changé ?
KJ :
Oui.
OW :
En quoi ?
KJ :
Avant, il faisait confiance aux gens.
Trop d’ailleurs, c’était son problème.
Et après le procès, il ne faisait plus confiance
à qui que ce soit.
Il me disait souvent
« Maman, je n’ai confiance en personne à part toi. »
OW :
Si vous pouviez vous adresser au
Dr. Murray, que lui diriez-vous ?
KJ :
J’y ai pensé des milliers de fois.
Je lui demanderais pourquoi il n’a
pas pris soin de mon enfant comme il le fallait.
Pourquoi il a quitté la pièce.
Pourquoi il lui a administré ce médicament
malgré les risques que cela représentait.
OW :
Pensez-vous qu’il a assassiné votre fils ?
KJ :
Je ne peux pas l’accuser de meurtre.
J’ignore si c’était accidentel ou non.
Je préfère ne pas m’étendre là-dessus même
si j’ai mon idée sur la question.
OW :
On entend souvent que le temps
guérit toutes les blessures.
Est-ce le cas pour vous après la perte de votre fils ?
KJ :
Non, pas du tout.
Je crois que je ne m’en remettrai jamais.
Ça ira mieux avec le temps,
mais certains jours j’ai l’impression
que c’est arrivé hier.
Quand je n’arrive pas à parler de
lui je me mets à pleurer.
Ça fait mal.
Très mal.
OW :
Aujourd’hui, ce sont ses enfants à lui que vous élevez…
KJ :
Oui.
OW :
Les voyiez-vous souvent avant sa mort ?
Les connaissiez-vous bien ?
KJ :
Oui je les connaissais.
Je ne peux pas dire que je les
connaissais incroyablement bien,
mais suffisamment.
J’allais souvent leur rendre visite,
comme le font toutes les grand-mères.
OW :
Que pensiez-vous de sa manière de les élever ?
Des masques notamment ?
KJ :
Je n’aimais pas ça,
mais je ne lui en ai jamais parlé.
Par la suite, leur mère biologique m’a
expliqué que l’idée venait d’elle,
pas de Michael.
OW :
L’idée de les couvrir ?
KJ :
Oui.
OW :
J’imagine que vous n’aimiez pas les
voir recouverts car vous pensiez que
cela ne leur ferait aucun bien,
ni à eux, ni à Michael…
KJ :
Je redoutais les réactions des gens,
sachant les méchancetés
qu’ils pouvaient dire sur lui.
OW :
Les enfants ont emménagé chez vous
le soir même de la mort de leur père.
Cela a dû être absolument traumatisant…
KJ :
Ne m’en parlez pas…
OW :
Vous faisiez chacun face à votre deuil,
la maisonnée entière était en deuil.
Comment avez-vous surmonté cela ?
KJ :
Eh bien,
ce qui m’a véritablement le plus
brisé le cœur est lorsque le personnel
de l’hôpital nous a dit que nous pouvions partir,
et que Paris m’a demandé
« Grand-mère, où est-ce qu’on va aller ? »…
Ça m’a tuée…
Je lui ai dit
« Mais vous rentrez avec Grand-mère,
c’est d’accord ?
Oui, c’est chez toi qu’on veut aller. »
C’était insupportable à entendre…
OW :
Vous les avez donc ramenés chez vous.
Certains des enfants de Jermaine
et de Randy habitaient déjà avec vous.
KJ :
Oui.
OW :
Comment les avez-vous intégrés à votre foyer ?
Ça s’est fait tout seul ?
KJ :
Oui, voilà.
Ils se sont tout de suite bien entendus.
Il y a certaines choses qu’il n’avaient
jamais eu l’occasion de faire jusque là, comme du
« camping »
si on peut appeler ça comme ça.
Alors on leur a acheté des tentes
qu’ils ont montées dans le jardin !
Ils ont fait des tas de choses ensemble.
Je leur ai laissé faire tout ce qu’ils souhaitent
pendant cette période parce qu’ils venaient
de perdre leur père, leur univers tout entier.
Michael était le seul parent qu’ils connaissaient,
leur monde venait de s’écrouler.
J’avais tellement mal pour eux.
OW :
Ces enfants vivaient jusqu’alors dans leur
petit monde Michael Jackson.
Est-ce vous qui avez décidé de les
inscrire dans une école normale ?
KJ :
Oui,
enfin c’est eux qui m’en ont parlé.
Nous en avons discuté avec les enfants.
Au début, Paris disait qu’elle ne voulait pas y aller,
tandis que Prince, oui.
Après que Prince ait pris sa décision,
Paris est allée visiter l’école avec lui
et a finalement été emballée,
donc elle a changé d’avis.
Par contre, Blanket, le plus petit,
dit qu’il ne veut jamais y mettre les pieds !
Mais maintenant qu’il entend leur enthousiasme
en rentrant de l’école et qu’il les voit inviter
tous leurs copains à la maison,
il dit qu’il veut y aller aussi !
Alors peut-être l’année prochaine.
OW :
Il entrerait en quelle classe ?
KJ :
Blanket ? En CM1.
OW :
Il est temps qu’il y aille selon vous ?
C’est ce que vous souhaitez ?
KJ :
Non, parce qu’il est encore timide.
Très timide.
OW :
Vous trouvez bon que les enfants sortent
en public sans être couverts ?
KJ :
Oui, et je crois qu’ils apprécient également.
Ils ne me l’ont jamais dit, mais je crois que c’est le cas.
OW :
Trouvez-vous qu’ils s’adaptent bien à leur nouvelle vie ?
KJ :
Oui, très bien.
OW :
Est-ce qu’ils vous parlent du manque
qu’ils ressentent par rapport à leur père ?
KJ :
Parfois.
Mais ils parlent surtout de petites
choses que faisait leur père.
Ils disent souvent
« Papa faisait comme ci ou comme ça ».
Paris est très sentimentale,
elle en parle très souvent, mais elle est costaud.
Dans sa chambre elle n’a que
des photos de Michael,
j’ignore comment elle arrive à les regarder sans craquer.
Moi je n’y arrive pas en tous cas.
OW :
Vous pensez à lui tous les jours ?
KJ :
Tous les jours.
Il ne se passe pas un seul jour
sans que je pense à lui.
Parfois je m’en veux de ne penser qu’à ça,
mais je n’y peux rien.
OW :
Mais êtes-vous toujours triste en pensant à lui ou…
KJ :
Il m’arrive de sourire en pensant à lui.
Je repense à toutes les choses qu’il faisait petit,
les blagues qu’il racontait…
Je l’ai tout le temps dans la tête.
OW :
Vous avez l’impression qu’il est avec vous ?
KJ :
Sa mémoire est avec moi.
Et j’ai énormément de bons souvenirs de lui.
C’est quelque chose qu’on ne pourra jamais m’enlever.
À présent dans le jardin,
Katherine et Oprah sont rejointes
par Joseph Jackson.
OW :
J’avoue être étonnée de vous
voir ici Monsieur Jackson,
car tout le monde dit que vous êtes divorcés !
KJ :
Ce n’est pas vrai.
OW :
Il n’y a pas eu de demande de divorce ?
KJ :
Non, jamais.
OW :
Vous avez l’air de bien
vous entendre en tous cas…
Joseph Jackson ( JJ ) :
Oui, on ne se dispute pas.
OW :
De quoi êtes-vous le plus fier concernant Madame Jackson ?
JJ :
C’est une personne merveilleuse,
à part qu’elle se laisse faire par les gens,
exactement comme Michael.
OW :
Pensez-vous qu’il avait peur de vous ?
JJ :
Non.
Peut-être qu’il avait peur quand il faisait
une bêtise et que je le corrigeais.
Mais je ne le battais pas.
Je ne l’ai jamais battu comme le prétendent les médias.
OW :
C’est lui qui m’a dit que vous le battiez.
JJ :
Je suis content que son éducation
l’ait empêché de tomber dans
la drogue et de finir en prison,
contrairement à beaucoup d’autres jeunes de Gary.
OW :
Mettons les choses au clair :
enfant, j’ai été battue parce que notre culture voulait ça.
Avez-vous élevé vos enfants de la même manière ?
JJ :
Battus ou fouettés ?
KJ :
C’est pareil…
OW :
Les marques des coups dans le dos sont les mêmes…
JJ :
Oui mais quand vous dites « battre »…
OW :
D’accord, alors c’est le mot « battre » qui vous gêne…
JJ :
Le terme « fouetter » aussi…
KJ :
C’est encore pire !
OW :
Bon, alors qu’utilisiez-vous pour corriger vos enfants ?
KJ :
[À Joe] Autant l’admettre :
c’est comme ça que les Noirs élevaient leurs enfants.
OW :
[À Katherine]
Vous pouvez me répondre alors…
KJ :
Il se servait d’une ceinture.
OW :
Sachant ce que vous savez aujourd’hui,
auriez-vous agi différemment ?
Auriez-vous été un père différent ?
JJ :
Je les aurais punis et fouettés avec une ceinture
s’ils faisaient des bêtises pour leur éviter
d’avoir des ennuis et d’aller en prison.
Mes enfants n’ont jamais fait de prison, neuf enfants !
Et c’est une bonne chose.
OW :
Regrettez-vous les coups de ceinture ?
JJ :
Non, parce que ça leur a évité les ennuis
et qu’ils sont restés de bons gosses.
OW :
À quel moment avez-vous décelé
quelque chose de particulier chez Michael ?
KJ :
Tout petit.
À l’époque on avait une de ces vieilles
machines à laver à agitateur qui faisaient
tout un tas de bruits saccadés.
C’était encore un bébé, je dirais
qu’il avait un peu plus d’un an, il marchait,
il buvait son biberon et
dansait au rythme de la machine à laver !
OW :
Wow…
KJ :
On s’est dit que ce petit était un sacré phénomène.
JJ :
Oh que oui…
L'interview s'achève ensuite par une
séquence avec les trois enfants de Michael
entourés de leurs cousins,
dans laquelle ils partagent quelques
souvenirs de la vie avec leur père.
Sources : MJB
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Breaking News, suite des théories et réaction de Malachi
09/11/2010 19:16
Alors que le phénomène continue
de prendre de l'ampleur parmi
les fans du Roi de la Pop,
voici les dernières nouvelles concernant la chanson
"Breaking News"
que beaucoup analysent et décryptent
pour savoir si c'est ou non Michael Jackson.
Voici les derniers faits et les dernières théories.
1.
Le twitter de Jason Malachi a démenti toute
implication dans la chanson.
"je peux comprendre que beaucoup
de gens pensent que c'est moi qui chante mais ce n'est pas moi."
Mais déjà les contre-réactions fusent:
certains prétendent que le compte Twitter
de Malachi est un fake, lui aussi.
Il aurait été créé peu de temps après le décès de Michael.
Notre avis Bref... là aussi on doute.
2.
Une version a cappella est apparue cette nuit sur
YouTube et les fans ont pu se faire une meilleure opinion.
Mais elle a été retirée pour cause de violation
des droits d'auteur de Sony.
Notre avis Après plusieurs écoutes,
on se rend compte que quelque chose cloche.
On veut essayer de croire que tout
est de Michael mais impossible.
Au mieux quelques petits bouts,
couplés avec la voix de quelqu'un d'autre.
Mais encore faut-il comprendre...
POURQUOI ?
3.
Selon certaines théories,
les parties vocales laissent planer le doutes
car elles proviendrait d'enregistrements
vocaux de Mj sur des répondeurs de ses producteurs.
Selon ces théories,
MJ aurait été parano qu'il y ait des fuites et
aurait donc voulu travailler de la sorte.
Notre avis Peu probable:
en effet, Michael Jackson était un perfectionniste
qui poussait ses ingénieurs du son à recommencer
et à réenregistrer encore et encore ses parties
vocales pour tenter d'approcher de la perfection.
s'il a laissé des parties chantées sur un répondeur,
c'était sans doute plus à titre d'exemple ou d'aide mémoire.
Rien de plus.
Mais JAMAIS il n'aurait enregistré des chansons
complètes de la sorte.
Source : MJB
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Extrait inédit (un vrai) débarque sur YouTube
09/11/2010 12:40
Alors que le monde entier s'insurge
contre la grande mascarade de
"Breaking News",
un nouvel extrait inédit d'un titre
de Michael fait irruption sur le Net
(sur YouTube).
Il s'agit d'un titre intitulé
"Do you know where your childrens are?"...
A découvrir sur Youtube (extrait de 31 sec).
Source : MJB
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Réactions "officielles" sur Breaking News
09/11/2010 12:39
Vu l'actualité et vu que les réactions
vont se multiplier dans les heures qui viennent,
ce post sera régulièrement remis à jour
(pour ne pas multiplier les infos sur les
réactions concernant
"Breaking News", le "faux titre de MJ".
Teddy Riley Suite aux réactions des fans
de partout sur la planète concernant la chanson
Breaking news, teddy Riley a réagi
sur son Twitter ce matin.
Il a précisé que selon lui,
c'est bien la voix de Michael Jackson.
En tout cas il le pense.
Mais il n'a pas enregistré les parties
vocales dont il dit qu'il ne peut rien dire ni rien prouvé.
"J'ai été appelé sur le projet parce qu'ils
pensaient que je devait en faire partie
vu ma relation avec Michael.
Les voix ont été fournies par les Cascios,
et je ne peux rien prouver" a dit Riley.
Il ajoute "Tout le monde dit que c'est
Michael [parmi les gens qui ont travaillé avec lui]
à part sa famille parce qu'ils n'ont pas la preuve"...
Notre avis:
A priori, Teddy Riley se décharge
complètement de toute responsabilité
et renvoie tout aux Cascios qui ont fourni les bandes.
Taryll Jackson
"J'ai mis en doute la véracité des voix
sur "Breaking News" et plusieurs
autres chansons que j'ai entendues et
ils m'ont dit qu'ils n'avaient
aucune autre chanson.
Ils ont prétendu que mon oncle était
tellement satisfait de sa performance
qu'il aurait demandé de
supprimer tous les autres fichiers.
J'ai eu l'honneur de travailler et
d'apprendre de la façon de travailler
de Michael et ce n'était PAS sa façon de travailler.
Pas d'outtakes, pas de backup, pas de preuve.
La même chose pour 10 chansons.
J'ai demandé l'ordi sur lequel elles ont été crées...
ils m'ont dit qu'il était cassé.
J'ai demandé le disque dur original...
ils ont dit qu'il était détruit.
Des excuses les unes après les autres.
" Notre avis.
Taryll est vraiment remonté,
comme ses frangins.
D'habitude très policé et très en
retrait des polémiques,
sa montée au créneau laisse penser
qu'il n'a pas tort et que les conditions
autour de la création de "Breaking News"
sont très floues.
Francesco Cascios
"C'est bien Michael Jackson à 100%"
aurait-il insisté ce matin,
après la diffusion de la chanson sur le site de Sony...
"Les fans devraient être heureux et
aimer la chanson telle que MJ l'adorait"...
notre avis On peine à le croire.
Mais c'est lui qui aurait fourni les bande (à quel prix?)...
Source : MJB
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